Aux 5% de lecteurs qui souhaitent ajouter de la vie à la vie de leurs proches pour Noël, nous conseillons les ouvrages suivants:
Isabelle Chabanel, Des Étoiles dans la main
“C’était une petite chatte blanche pointant son museau rose derrière la fenêtre de la cuisine.
Elle avait surgi un soir d’automne. Locataire de l’appartement, madame Lemanosky qui s’ennuyait de son mari hospitalisé dans un sanatorium, l’avait attirée, nourrie, séduite dans leur besoin réciproque de compagnie et de caresses, à la différence que le moindre geste un peu brusque effrayait la chatte et la propulsait prestement sur l’évier, et de là sur le rebord de la fenêtre. Si celle-ci était fermée, elle se réfugiait derrière la huche à bois. Puis furtivement émergeait de sa cachette ou se représentait à la fenêtre, sa tête triangulaire forçant le passage.”
Des petites touches pour exprimer la vie d’une enfant qui deviendra adulte, de petites tranches de vie offertes au lecteur. Des histoire qui peuvent être lues indépendamment, mais qui sont liées les unes aux autres par le fil de l’existence.
Avis des internautes:
“Je pourrais poursuivre ainsi jusqu’au bout du recueil, mais je vous laisse le plaisir de la découverte, chaque nouvelle étant bien une étoile, c’est une très belle lecture. Et n’ayez pas peur du mot « nouvelle » genre boudé par bien des lecteurs ; laissez-vous surprendre par l’admirable plume d’Isabelle Chabanel qui nous offre avec générosité une belle panoplie de rencontres humaines qui tissent des liens, qui marquent la mémoire, chamboulent des vies, tracent des marques profondes, alors que surgit à chaque page la mélodie de la vie. Une ode poétique dans un royaume de tendresse.” Pascale, blog Mot à Mot
“J’ai beaucoup aimé ces petites histoires tellement féminines, charmantes et poétiques. J’en acheté plusieurs exemplaires pour les offir aux gens que j’aime.” Maude de Coulon, Chroniques de la rentrée littéraire 2010
“La Venoge serpente auprès au pied des collines qu’elle a ouvertes jadis d’un éperon d’eau; d’une main de limon elle a modelé ces petites plaines où le blé point, abrité par de grands pans de bois. Là sont la route de la vallée, le pont, sa garde d’aulnes et de saules, la ferme tassée contre le talus du chemin de fer.”
Quatrième de couverture: Posons là notre bagage de soucis quotidiens et prenons le temps d’écouter la voix de Vio Martin : elle sait si bien nous faire connaître la patience des arbres, les ombres mouvantes sur les champs, la chanson de l’eau sous un pont. Toute en suggestions et en nuances subtiles, elle nous plonge dans le monde étrange et mystérieux d’une nature qui nous semblait jusqu’alors si familière. La respiration apaisée par la lecture des beaux textes de Terres noires, nous pourrons alors repartir vers nos occupations, en conservant le chant de sa poésie dans nos cœurs.
La poésie de Vio Martin, pour offrir un regard neuf sur les paysages connus de notre région…
Avis dans la presse:
“Par l’évocation précise de ses paysages et de leur signes, Vio Martin est le témoin d’un monde qui disparaît sous nos yeux sans que nous ayons, autrement que par le coeur, le pouvoir de le retenir. De cela surtout nous lui savons gré.” Doris Jakubec, Journal de Genève
“Il y a dans les poèmes de Vio Martin comme une osmose entre la terre et le cœur humain”, Gabrielle Faure, Nouvelle Revue de Lausanne
Marguerite Burnat-Provins, Heures d’automne, heures d’hiver
Heures d’automne, heures d’hiver est un livre de saison: “Si Heures d’automne est un livre du lac, serein, tout imprégné de la lumière tendre et bleutée du Léman, Heures d’hiver se déroule sur les bords neigeux du Rhône, au sein de la capitale valaisanne figée dans les glaces d’un hiver rigoureux.”
Si vous voulez faire découvrir des lieux familiers magnifiés par le regard et la plume d’une écrivaine de talent, offrez cet ouvrage de poésie de Marguerite Burnat-Provins à vos proches.
Les heures passent une à une, la poésie demeure…