Lu sur le blog Au bonheur de Lire, au sujet des Funambules de l’indifférence, le dernier roman de Michel Diserens:
“L’enjeu du livre est bien de décrire comme un reportage la vie colombienne en 2005 avec en filigrane cet amour “impossible” . Se réalisera t-il? Va-t-elle rester ici comme Edmond?… 6 jours pour “convaincre”, d’autant que la survie de Brote Joven dépend pour une grande part des fonds suisses, car ici il faut payer la police, la mafia pour protéger les “gamines” de la prison notamment (…) Ce fut un plaisir de lecture (sans jeu de mot) à lire comme je l’ai dit comme un reportage sans concessions sur la Colombie.”
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