Lu sur le blog Fattorius, de Daniel Fattore, à propos de Des Taureaux et des femmes, le dernier recueil de nouvelles de Catherine Gaillard-Sarron:
“Au fil des nouvelles, le lecteur est promené dans des relations interpersonnelles et de couple qui dysfonctionnent et cahotent, jusqu’à la folie (“Monsieur Herbert”), et certaines pages de “Des taureaux des femmes” ont un petit goût amer ou dérangeant. Cela dit, l’auteur indique de façon claire que tout cela n’est pas à prendre trop au sérieux – l’onomastique des personnages, en particulier, le signale, riche en jeux de mots subtils ou directs. (…) Ainsi, tout en soulevant des sujets graves liés aux relations interpersonnelles, l’auteure offre toujours un espace ludique au lecteur, et évite ainsi, fort justement, de plomber l’ambiance.”
Pour lire la critique dans son intégralité, cliquez ici.