Lu sur le blog Sophielit:
“Isabelle Aeschlimann démontre qu’elle sait déjà jouer avec son lecteur : à maintes reprises, Markus et Emilie manquent de se croiser ; on anticipe les retrouvailles et le fait qu’elles n’aient pas lieu alors qu’on s’y était préparé développe le sentiment de frustration… et pousse à poursuivre la lecture. Résultat : on peine à lâcher son roman.”
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