12% d’entre vous souhaitent offrir du suspense pour Noël, voici quelques idées qui devraient combler vos proches…
Pierre De Grandi, YXSOS ou le songe d’Ève
« – Tu es complètement folle, Kate! Tu te rends compte que tu te réjouis de ce déferlement de désespoir et de mort? Comment peux-tu jubiler ainsi? Tu ne vois pas que l’humanité pourrait être gravement menacée? À la limite risquer de disparaître! Mais réveille-moi! des hommes et parmi eux plein d’innocents sont tués en masse. Et toi, cynique, tu te frottes les mains. Tu irais jusqu’à glorifier ce que tu vois comme une chance pour le féminisme. Pourtant tu sais que le féminisme n’a jusqu’ici jamais tué personne!
– C’est peut-être bien le moment que ça change… Non? »
Une pandémie menace l’ensemble du genre masculin: le professeur Wise parviendra-t-il à la stopper avant qu’il ne soit trop tard? Un suspense qui remettra en question tout ce que vous croyez savoir sur la guerre des sexes…
Avis dans la presse:
« si le livre relève aujourd’hui de la génétique-fiction, il n’est pas exclu que cette fiction puisse devenir demain réalité », Pierre Jeanneret, Gauchebdo.
– Je me contrefiche de la contravention de Patric. Je suis à la recherche d’autre chose.
– Quoi ?
– Un cadavre avec une main en moins.
Silence à l’autre bout de la ligne.
– Tu as très bien entendu : un cadavre avec une main en moins. »
Un jeune mère de famille se trouve mêlée à une sombre histoire qui la conduit à s’intéresser de près à une usine d’incinération pour y découvrir un scandale qui, de la sphère politique aux groupes écologistes, en passant par la presse, ne laissera personne indemne. Un suspense au rythme haletant en plein cœur des Grisons…
C.-F. Ramuz, Si le soleil ne revenait pas
« Car, même au gros de l’hiver, même dans ces villages où le soleil ne se montre pas de tout le jour, rien n’est plus beau à voir, d’ordinaire, que la pureté du ciel et l’éclat de la neige. Même ici où on ne voit pas le soleil pendant six mois, on le sent qui est là, derrière les montagnes, et envoie en délégation ses couleurs, qui sont le rose pâle, le jaune clair, le roux, dont un pinceau minutieux revêt autour de vous les pentes. La neige sur les toits est comme du linge qu’on vient de passer au bleu; elle est sur les côtés des toits comme des piles de draps de lit pliés en quatre dont on voit les épaisseurs lesquelles débordent; et la masse dépassant, de temps en temps, se rompt et tombe, avec un bruit d’écrasement, comme un fruit mûr. La neige est à la point des pieux comme des bonnets en laine d’agneau. L’air est à la fois immobile et animé d’un mouvement secret; il ne se respire pas, il se boit. »Comment réagiront les habitants de ce village à qui l’on dit que la fin du monde est arrive? Un suspense qui reste d’actualité…
« Il était quatre heures environ d’un après-midi de mai, lorsque Priscille de Cesterjon se présenta à la porte de l’hôpital de Biskra gouverné par les Sœurs Blanches.
Tout y était merveilleusement tranquille, grâce au silence couché sur les dalles roses qui longent la maison.
Une religieuse coiffée, par-dessus son voile, d’un grand chapeau de paille nue, gagna le péristyle et salua la visiteuse. Priscille, ayant demandé la directrice, fut introduite dans le parloir rempli d’une bruine bleuâtre et presque froid à l’abri de ses volets tirés. »
Après quels événements dramatiques cette jeune femme a-t-elle décidé de prendre le voile? C’est ce que vous apprendrez au terme de roman noir provincial, très éloigné de la production habituelle de Marguerite Burnat-Provins. Un suspense qui ne révélera ses secrets que dans les toutes dernières pages…
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