Description
June Lajoie, une auteure américaine de best-sellers, passe l’été dans un hôtel d’Interlaken, évitant tout contact social. Depuis longtemps, elle porte le poids d’un lourd secret.
Vingt ans plus tôt, Lizzie Willow, une jeune fille de bonne famille extrêmement riche, se libère du joug des convenances sociales le temps d’un été et vit une passion amoureuse, entre Montreux et Lausanne. Mais l’idylle tourne vite au drame…
Le passé et le présent se croisent, se mêlent et s’éclairent l’un l’autre, jusqu’au moment où une présence énigmatique dans un miroir révèle le regard d’une petite fille. Qu’essaie-t-elle de dire à June et Lizzie ? L’intrigue de ce roman au suspense bien ficelé permettra de le découvrir, page après page, jusqu’à un dénouement surprenant.
Revue des médias:
- Radio Cité Genève, 30 novembre 2017 : Interview avec la journaliste Charlotte Lang de Radio Cité Genève.
- Babelio, 09 septembre 2017
- Blog Mon Roman? Noir et bien serré, 09 septembre 2017
- Blog de Pascal Kneuss, 30 juillet 2017
- Blog de la librairie Atmosphère, 14 juillet 2017
- Blog de Pascal Schouwey, 2 juillet 2017
- Le journal de Lucie, 2 juillet 2017
- Blog Silence je lis, 30 mai 2017
- Blog MHF, 27 mai 2017
- Blog Fattorius, 26 avril 2017 :
- Blog Bouquiner, 25 avril 2017
- Blog de Francis Richard, 23 avril 2017
- Blog Sangpages, 20 avril 2017
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- RTS, Les romans qui chantent, 23 juillet 2017
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- France Inter, La librairie francophone, 24 juin 2017
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- Interview sur RTN, 12 juin 2017
Bouquiner –
Coup de coeur !
La Petite Fille dans le Miroir est un roman palpitant, attachant et rempli de suspense. Les différentes histoires de ce roman s’imbriquent l’une dans l’autre avec une facilité incroyable qui empêchent le lecteur de poser le livre avant de l’avoir terminé.
Marie Javet et sa plume, nous entraînent au coeur de son imagination et nous proposent une lecture vraiment attrayante et surprenante.
Tout juste la lecture de La Petite fille du Miroir terminée, que l’impatience de la lecture du prochain roman se forme. Marie, il sort quand ton prochain roman ?
Blog Bouquiner
Goodreads –
Un premier roman bien ficelé, très agréable à lire. On tourne les pages sans s’en rendre compte et soudain on est déjà à la fin. On a plaisir à partager avec Lizzie ses premiers moments de liberté et on souffre avec June de ses angoisses. Vivement un second roman pour cet auteure prometteuse.
Plus de commentaires sur le site suivant :
Good reads blog
MonRomanNoirEtBienSerre –
La Suisse regorge de ces palaces luxueux, vieux “vaisseaux de pierre” aux décors surannés, qui bordent les rives des lacs ou qui se dressent fièrement face aux sommets les plus mythiques du pays. Lieux prestigieux, chargés d’histoires, leurs silhouettes à la fois élégantes et atypiques, font partie intégrante du paysage en véhiculant la légende des grandes personnalités qui les ont fréquenté. C’est dans l’un d’entre eux, le Victoria-Jungfrau à Interlaken, que Marie Javet a choisi de planter le décor de son premier roman intitulé La Petite Fille Dans Le Miroir. Sélectionné parmi les dix ouvrages en lisse pour la première édition du prix du polar romand, l’ouvrage de Marie Javet ne présente guère de caractéristiques afférentes au genre mais n’en demeure pas moins un roman agréable et surprenant, qui s’oriente plutôt sur le registre du drame en intégrant une pointe de fantastique et une légère pincée de suspense.
http://monromannoiretbienserre.blog.tdg.ch/archive/2017/09/09/marie-javet-la-petite-fille-dans-le-miroir-ghost-story-286181.html
Librairie Galerie Atmosphère –
La petite fille dans le miroir ou l’histoire d’une romancière à succès dont le passé va la rattraper. Un secret trop bien gardé la poursuit depuis vingt ans et hante ses nuits.
Au fil de la lecture, on devine que l’auteure en question, June Lajoie, n’est autre que Lizzie, une jeune fille très riche qui va vouloir fuir le carcan familial pour s’émanciper. Elle va réaliser son rêve malgré ses mensonges sur son identité et sa belle vie amoureuse va tourner au cauchemar.
Peut-on se réfugier dans le mensonge pour fuir une réalité qu’on est incapable d’affronter ?
Lisez ce roman fort bien construit !
http://www.blogatmosphere.ch/2-coups-de-coeur-pour-des-premiers-romans/
Marie-Claire Siegenthaler –
Lire l’article complet de weblittera.
Silence je lis –
Un premier roman qui habille une plume que je ne soupçonnais pas! je l’ai trouvé si bien écrit que je me suis demandé comment Marie avait pu attendre si longtemps avant de faire son entrée sur la scène littéraire.
Une histoire passionnante, bien ficelée qui nous montre les conséquences que peuvent avoir nos actes ou nos mensonges. Comment l’engrenage se met en route sans que l’on ne puisse plus maîtriser la situation.
Des personnages bien construits, des décors bien réels sans trop en faire non plus. Un équilibre surprenant pour ce premier roman. J’ai tourné les pages sans m’en rendre compte jusqu’à la fin. J’ai adoré ce livre!
J’espère vivement voir atterrir entre mes mains un prochain roman de cette auteure talentueuse à l’avenir littéraire prometteur.
Rodriguez –
J’ai adoré
Badgeekette –
J’ai été réellement étonnée par ce roman car je ne m’attendais pas du tout à ce qu’il comporte du fantastique et je dois dire que j’ai bien aimé me faire surprendre. Au fil des chapitres on reconstitue la vie de Judy et on s’y attache de plus en plus, jusqu’au moment où on apprend ce qu’elle a fait… la fin m’a beaucoup plu, ce roman fait réfléchir sur le fait de prendre ses responsabilités, quoi qu’il advienne. Un seul bémol pour ma part, la résolution de l’enquête concernant la petite fille dans le miroir est un peu rapide à mon goût. J’aurais peut-être souhaité que cet aspect-là de l’histoire soit plus développé (70-80 pages de plus peut-être ??). Une belle découverte, j’ai hâte de lire le prochain roman de cette auteure avec qui j’ai eu l’occasion de discuter à Gryon à la sortie du livre « qui a tué heidi? » de Marc Voltenauer. Pour la petite histoire, quand je suis arrivée vers la table à laquelle elle se tenait pour vendre et faire dédicacer son livre elle m’a dit « vous êtes Elodie non ? Je ne rappelle d’avoir discuté avec vous sur Facebook! » Et bien je peux vous dire que cela m’a fait super plaisir, elle doit voir tellement de personnes tant réellement que virtuellement que je me suis sentie privilégiée ! Je ne peux que vous conseiller ce roman ????
https://badgeekette.com/2017/11/08/bilan-de-mes-lectures-du-mois-de-septembre-2017/
André Durussel –
Ce premier roman de Marie Javet est intéressant à plus d’un titre.
Tout d’abord par son insertion dans un contexte urbain et géographique très précis, en Suisse (Interlaken, Montreux et Lausanne), mais aussi et surtout par une structure romanesque temporelle et chronologique, subtilement enchevêtrée en miroir sur vingt années (1992-2012), elle-même se déroulant du 5 au 11 août 2012 à Interlaken et accompagnée, en italique, d’un bref récit du 20 juin 1912 dans ces mêmes lieux.
Ce récit dévoile finalement les circonstances de la mort de cette petite fille qui apparaissait ainsi dans un miroir de la chambre de l’hôtel d’Interlaken ou séjournait la narratrice prénommée June une centaine d’années plus tard, le 6 août 2012 précisément (p.48). Cette petite fille a donné le titre de ce roman.
La narratrice privilégie dès le départ des digressions intéressantes autour du métier d’écrivain en prise avec ses personnages: “Le fil de sa vie s’emberlificote et se dissimule parmi celles de ses personnages” écrit-elle en p.133. Cette “dissimulation permanente” devient effectivement un élément privilégié de la stratégie discursive de l’auteur, en l’occurrence Marie Javet. Ce sont aussi des sortes de pauses narratives que doit observer son personnage principal, cette romancière June Lajoie, une auteure américaine de best-sellers, afin de ménager sa santé psychique toujours fragile. Mais cette construction romanesque est aussi cinématographique. Par expl.: “Un an plus tard” (p.209-211).
Il y a enfin dans ce roman (et l’auteur s’en défendra peut-être avec toutes les protestations qu’il convient) une composante autobiographique indéniable. Parce que l’on écrit avec sa propre chair, ses propres fragilités, ses propres expériences. C’est ainsi, et ainsi seulement, que l’on atteint l’universel. D’ailleurs, la liste impressionnante des personnes citées dans des “remerciements” (p. 213-214) semble attester cela.
Le drame de June Lajoie poursuivra toujours la romancière, qu’elle soit fictive ou réelle. Il ne se dénouera que dans le silence.