Sur son blog Fattorius, Daniel Fattore, dans un article nommé “Isabelle Aeschlimann: amours et moeurs sur fond berlinois”, évoque le premier roman de l’auteure de Un été de trop en ces mots:
“Un été de trop est un premier roman urbain accrocheur qui fonctionne, donc, et donne envie au lecteur d’aller au bout, jusqu’à un final qui, sans vouloir en dévoiler trop, est ouvert comme la nouvelle vie qui commence pour certains personnages, à distance de certaines conventions sociales. Il est à noter que l’incipit du roman dit “Cette fois c’est la fin”, ce qui peut donner une indication sur certains déchirements et aboutissements dans un récit qui tient de la peinture bien observée des moeurs actuelles. Espérons toutefois qu’elle n’annonce pas la fin de la carrière littéraire de l’auteur! C’est une plume à suivre, avec plaisir.”
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